Un emploi, des projets… Bien lancé dans la vie, Franck a été victime d’un accident de la circulation à moto. L’intervention de notre cabinet d’avocats lui a permis d’être accompagné juridiquement, de reprendre confiance en lui pour avancer. Malgré les événements.
Franck était l’un de ces jeunes actifs qui avait tout pour réussir : un emploi en intérim, une maison, un crédit, un chien… « Du coup la vie commençait », se souvient-il en souriant.
En 2012 survient un accident de moto qui stoppe ses ambitions : « J’ai été victime d’une personne qui n’a pas respecté le code de la route en grillant une priorité. J’ai été percuté sur le côté droit, ma jambe a été écrasée entre la moto et la voiture. »
Après une semaine en réanimation et une amputation trans tibiale, s’enchaînent de nombreux allers et retours entre le centre de rééducation et l’hôpital pour cause d’infection résistant aux traitements. « La chance a fait que j’ai pu conserver un maximum de membres (pour un bon appareillage) , continue Franck, optimiste. J’ai ensuite effectué une longue convalescence à la maison avec pompes, antibiotiques et visites régulières d’un infirmier pour changer mes pansements. Il a fallu trois mois pour cicatriser et voir l’infection stabilisée. »
Le rôle clé de l’avocat pour l’assistance juridique
Lorsque vient la question de l’assistance juridique, il est difficile de prétendre à des droits à indemnisation, ou au statut de travailleur handicapé si la personne n’a pas été reconnue comme telle par la justice. Pour Franck, devenu sans ressource, « les 6 premiers mois après le retour à la maison ont été difficiles, il m’a fallu demander l’aide alimentaire. »
« Lorsqu’on est seul et sans assistance, personne ne peut prendre seul cette affaire et aller jusqu’au bout, cela paraît insurmontable »
Il était important de trouver un avocat car je savais que les procédures sont longues. Il est en effet nécessaire qu’une personne se batte pour vous et vous reconnaisse en tant que victime, défende vos intérêts pour avancer dignement dans votre vie future. Etre mis en lien avec Xavier Salvi (assistant social du Cabinet) et Maître Serge Beynet a ouvert des portes et un espoir d’être défendu et surtout d’avancer.
Retrouvez ici le témoignage de Franck en vidéo
L’entretien avec l’expert : une préparation décisive
N’étant pas reconnu comme victime, il a été nécessaire d’ouvrir un dossier, rencontrer des experts, émettre des comptes-rendus. Ensuite, Maître Serge Beynet a pu me défendre face à la compagnie d’assurance adverse.
Dans la préparation de la procédure, l’expertise avec le médecin de la compagnie d’assurance adverse est décisive pour la question des indemnisations à la suite de l’accident de la route. « J’ai vécu cette rencontre comme un interrogatoire, se souvient Franck, ce que je disais était remis en cause. Si bien que j’étais démuni et sur la défensive. Maître Beynet a su me mettre en confiance pour reprendre le dossier, œuvrer pour que les choses se fassent rapidement. Cela m’a rassuré d’être écouté, accompagné et défendu. »
Une indemnisation pour une nouvelle vie personnelle et professionnelle
Cette collaboration avec Maître Beynet a été capitale pour l’avenir de Franck : « J’ai pu obtenir une première indemnisation qui m’a permis de passer mon permis de conduire et acquérir mon premier véhicule adapté. Auparavant je ne pensais pas obtenir tout ça, gagner en autonomie et pouvoir faire ce qui bon me semblait. »
« Je suis très satisfait de cette prestation à laquelle je ne croyais pas au début »
Franck a ensuite suivi une formation de 4 mois à L’Adapt de Lyon et obtenu la reconnaissance de travailleur handicapé. Il a finalement fini par travailler pour ministère de la Justice comme éducateur PJJ. « Sans votre cabinet, cela ne ce serait pas aussi bien passé. »
Ne restez pas seul.e
Vous avez vous-même été victime d’un accident de la circulation ? Ne restez pas seul.e, nos avocats sont à vos côtés pour déterminer l’indemnisation la plus juste, prenez contact avec nous pour un premier rendez-vous. Notre cabinet intervient sur toute la France.
Crédit vidéo: Boris BEYNET